Alfonso Santisteban Y Su Orquesta – Cinema Tivoli
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Alfonso Santisteban Y Su Orquesta – Cinema Tivoli
Alfonso Santisteban Y Su Orquesta – Cinema Tivoli (Quartet Records QREE002, 2010)
De la comédie érotique au thriller pop, cette excellente compilation d'easy listening groove rend hommage à 28 trésors oubliés du soundtrack de cinéma bis, tous composés entre 1969 et 1981 par le grand maître de la B.O. seventies espagnole.
Un must.
A défaut d'avoir pu dénicher des morceaux de ce génial album, voici des extraits de quelques films compilés ici.
Attention car les versions chantées présentées ci-dessous ne figurent pas sur cet album qui donne dans l'instrumental groovy et classieux mais permettent au moins d'avoir un bon aperçu de l'ambiance musicale du genre cinématographique présenté ici.
Terrible scène de club funky à 5mn du premier extrait :
De la comédie érotique au thriller pop, cette excellente compilation d'easy listening groove rend hommage à 28 trésors oubliés du soundtrack de cinéma bis, tous composés entre 1969 et 1981 par le grand maître de la B.O. seventies espagnole.
Un must.
A défaut d'avoir pu dénicher des morceaux de ce génial album, voici des extraits de quelques films compilés ici.
Attention car les versions chantées présentées ci-dessous ne figurent pas sur cet album qui donne dans l'instrumental groovy et classieux mais permettent au moins d'avoir un bon aperçu de l'ambiance musicale du genre cinématographique présenté ici.
Terrible scène de club funky à 5mn du premier extrait :
Alfonso Santisteban Y Su Orquesta - Cinema Tivoli
Merde alors je ne savais pas qu'on guinchait autant sous le régime du Caudillo!!!!
Ahhahaha ils dansent comme des dératés les fiers Ibères LOOOOOOL
Vive Franco! LOOOOOOOOOOOOOOOOL
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Alfonso Santisteban Y Su Orquesta - Cinema Tivoli
Il y a eu des choses terribles en Espagne dans les seventies, on avait déjà un peu évoqué ça il y a quelques mois avec deux compilations vinyles fabuleuses.
Franco permettait aux cinéastes locaux de filmer des trucs un peu olé olé, borderline (du sexe, de la violence), voir complètement barge du moment que les monstres, les pervers ou les drogués soient d'une autre nationalité. Si bordel il y avait, l'action devait se passer en France ou ailleurs mais surtout pas en Espagne, passé cette restriction le cinéma ibérique était très libéré pour l'époque.
Franco permettait aux cinéastes locaux de filmer des trucs un peu olé olé, borderline (du sexe, de la violence), voir complètement barge du moment que les monstres, les pervers ou les drogués soient d'une autre nationalité. Si bordel il y avait, l'action devait se passer en France ou ailleurs mais surtout pas en Espagne, passé cette restriction le cinéma ibérique était très libéré pour l'époque.
Alfonso Santisteban Y Su Orquesta - Cinema Tivoli
C'est assez anachronique quand on pense aux masses d'Espagnols qui traversaient la frontière Pyrénéenne pour aller voir Emmanuelle dans les cinémas français, ou déferler sur les Champs-Elysées ce qui permit à un cinéma (UGC Triomphe) de programmer ce film sans interruption pendant 553 semaines, record absolu!
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