FUNK-O-LOGY

Allez, encore un petit live à l’Apollo... The O’Jays (59:55)
C’est le bonheur de travailler en musique...

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The O'Jays_1991_Live From The Apollo

The O'Jays (1991)

Eddie Levert
Walter Williams
Sammy Strain


Je suis en train d'écouter et de visualiser, et c'est comme si je redécouvrais le band.

Eddie Levert sur certains mouvements me fait bondir de ma chaise et crier : c'est comme si son énergie passait à travers l'écran et en plus fait de l'humour (il m'a fait penser à Millie Jackson dont il y a le live à l'Apollo sur le forum).

Walter Williams, là je suis : quelle douceur dans son chant, quelle facilité, quelle beauté que sont les notes distillées.

Sammy Strain : OUCH !!!!! Je ne peux m'empêcher de le visualiser sur une piste de danse.


Leurs pas de danse : CLASSITUDE ABSOLUE.

Eddie Levert est après Levi Stubbs des 4 Tops (R.I.P.) mon chanteur de groupe préféré... Une énergie phénoménale et un timbre instantanément reconnaissable.
J'écoutais encore tout à l'heure en rentrant de DC une série du DJ de la radio locale qui a passé "Backstabbers" et peu de temps après "For The Love Of Money"...
Deux titres incontournables des 70's... Et il y en a encore un paquet d'autres... (évidemment)

Ce live m'a donné envie de revenir sur leur discographie et plus particulièrement sur l'un des albums les plus sous-estimés, Message In The Music, qui correspond à la fin d'un cycle avec la mort (cancer) de William Powell le 26 mai 1977 et le départ, pour des raisons d'argent, de toute l'équipe M.F.S.B. de Philadelphia International Records que Gamble et Huff fondèrent quatre ans plutôt. Un chant de cygne en quelque sorte.

Revpop a écrit :Message In The Music

De cet album j'aime "Darlin' Darlin' Baby (Sweet, Tender, Love)".