9th Street Exit - Let's Make Sweet Harmony / (Pt.2)
Posté : 24 oct. 2015 21:57
9th Street Exit - Let's Make Sweet Harmony / (Pt.2) (Solid Foundation SF 103, 1973)
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Que faisait Dunn Pearson Jr avant que son entourage le surnomme le "Black Beethoven" ?
Des centaines de chansons dont celle-ci.
Il était un des fers de lance de la scène de Cleveland et ce depuis la fin des années soixante. Un véritable "jack of all trades" du fait qu'il était impliqué sur à peu près tout ce qui touchait cette scène bouillonnante.
Déjà une graine de Beethoven.
Ainsi Dunn fréquentait 9th Street Exit, un groupe de musiciens presque anonymes (Kenny Redon, Bobby English, Benny Slocum, Ernie Cary, Booker Hollins, David & Bobby Johnson), en était le pianiste attitré puis grâce à ses nombreuses relations dont celle avec Bobby Massey, il les fit signer sur le label Solid Foundation pour les produire plus tard sur deux 45 tours puis sur un album qui ne vit pas le jour.
Les 9th Street Exit, comme beaucoup de groupes locaux, jouaient tous les styles de la soul à la pop en passant par le jazz et le funk, par contre sur scène Dunn se travestissait en un flamboyant Sly Stone, son égérie, et son aura irradiait l'estrade laissant les autres musiciens dans l'ombre comme des spectres.
Déjà une graine de Beethoven.
Avant que le fameux album avorté soit enregistré il avait déjà décidé de l'appeler "Get Happy".
C'était sa période "Hymne à la Joie".
"Let's Make Sweet Harmony" devait être l'un de ses moments forts, une musique dédiée à la joie, à la fête, au groove dionysiaque. Un peu l'équivalent de "Move On Up" de Curtis Mayfield !
Mais le public, sourd à ces rythmes, bouda la chanson et Dunn partit vers d'autres conquêtes.
Let's Make Sweet Harmony :
Let's Make Sweet Harmony Pt. 2 :
Une petite photo :
]Que faisait Dunn Pearson Jr avant que son entourage le surnomme le "Black Beethoven" ?
Des centaines de chansons dont celle-ci.
Il était un des fers de lance de la scène de Cleveland et ce depuis la fin des années soixante. Un véritable "jack of all trades" du fait qu'il était impliqué sur à peu près tout ce qui touchait cette scène bouillonnante.
Déjà une graine de Beethoven.
Ainsi Dunn fréquentait 9th Street Exit, un groupe de musiciens presque anonymes (Kenny Redon, Bobby English, Benny Slocum, Ernie Cary, Booker Hollins, David & Bobby Johnson), en était le pianiste attitré puis grâce à ses nombreuses relations dont celle avec Bobby Massey, il les fit signer sur le label Solid Foundation pour les produire plus tard sur deux 45 tours puis sur un album qui ne vit pas le jour.
Les 9th Street Exit, comme beaucoup de groupes locaux, jouaient tous les styles de la soul à la pop en passant par le jazz et le funk, par contre sur scène Dunn se travestissait en un flamboyant Sly Stone, son égérie, et son aura irradiait l'estrade laissant les autres musiciens dans l'ombre comme des spectres.
Déjà une graine de Beethoven.
Avant que le fameux album avorté soit enregistré il avait déjà décidé de l'appeler "Get Happy".
C'était sa période "Hymne à la Joie".
"Let's Make Sweet Harmony" devait être l'un de ses moments forts, une musique dédiée à la joie, à la fête, au groove dionysiaque. Un peu l'équivalent de "Move On Up" de Curtis Mayfield !
Mais le public, sourd à ces rythmes, bouda la chanson et Dunn partit vers d'autres conquêtes.
Let's Make Sweet Harmony :
Let's Make Sweet Harmony Pt. 2 :
Une petite photo :