Ebo Taylor | New Morning | 13 juin 2018
Funky admins : funkiness, Wonder B, bluesy
Ebo Taylor | New Morning | 13 juin 2018
Ebo Taylor en concert
- http://www.myspace.com/ebotaylor
Jeudi 17 Mai 2012 à 19h30
Gent (Belgique) - Dokarena
[14,50 €]
Vendredi 01 Juin 2012 à 21h00
Paris (75) - Cabaret Sauvage
211 avenue Jean Jaurès
[16,80 €]
Présentation de la soirée parisienne
AFRICA BEATS & RHYTHMS ! Vol. 1 invite EBO TAYLOR
Avec Ebo Taylor, Les Frères Smith...
Concert + Soirée • Afrobeat
De 21h00 à l'aube
Tarifs :
- Concert 21h00 - 00h00 : 15€ en prévente (hors frais de location) / 20€ sur place
- Club Djs 00h00 - 05h30 : tarif unique sur place 15 euros
http://www.facebook.com/Radio.Salah
AFRICA BEATS & RHYTHMS ! Vol.1 invite…
EBO TAYLOR Live, The Afrobeat Academy & Special Guests.
Guitariste et arrangeur, Ebo Taylor le ghanéen est le trait d’union entre Accra, berceau du highlife et Lagos, la mecque de l’Afrobeat. 100% funky, 100% groove. "Le génie africain à l’état pur." !
LES FRERES SMITH (1ère partie). Le collectif Café-Crème & les Frères Smith sont la découverte pleine de promesses dans la sphère musicale Afrobeat & AfroFunk made in Paris pour 2011.
AFRICA BEATS DJ’s Club - AFRO BEAT – AFRO FUNK - AFRO GROOVES avec MANU BOUBLI (SUPERFLY), BETINO ERRERA (BETINO’S), JULIEN LEBRUN (HOT CASA). Une revue des musiques et rythmes Rare Groove Afro-Tropical par les esthètes du genre et diggers; parcourant la planète à la recherche des joyaux afro-beats, tropical sounds, funk afro et latin beats…
Un line up inédit avec le must des djs et diggers de la scène Afro-Tropicale made in Paris!
Source : - http://www.cabaretsauvage.com/
Ebo Taylor_2010_Cabaret Sauvage (Festival Alter Eco)
- http://www.myspace.com/ebotaylor
Jeudi 17 Mai 2012 à 19h30
Gent (Belgique) - Dokarena
[14,50 €]
Vendredi 01 Juin 2012 à 21h00
Paris (75) - Cabaret Sauvage
211 avenue Jean Jaurès
[16,80 €]
Présentation de la soirée parisienne
AFRICA BEATS & RHYTHMS ! Vol. 1 invite EBO TAYLOR
Avec Ebo Taylor, Les Frères Smith...
Concert + Soirée • Afrobeat
De 21h00 à l'aube
Tarifs :
- Concert 21h00 - 00h00 : 15€ en prévente (hors frais de location) / 20€ sur place
- Club Djs 00h00 - 05h30 : tarif unique sur place 15 euros
http://www.facebook.com/Radio.Salah
AFRICA BEATS & RHYTHMS ! Vol.1 invite…
EBO TAYLOR Live, The Afrobeat Academy & Special Guests.
Guitariste et arrangeur, Ebo Taylor le ghanéen est le trait d’union entre Accra, berceau du highlife et Lagos, la mecque de l’Afrobeat. 100% funky, 100% groove. "Le génie africain à l’état pur." !
LES FRERES SMITH (1ère partie). Le collectif Café-Crème & les Frères Smith sont la découverte pleine de promesses dans la sphère musicale Afrobeat & AfroFunk made in Paris pour 2011.
AFRICA BEATS DJ’s Club - AFRO BEAT – AFRO FUNK - AFRO GROOVES avec MANU BOUBLI (SUPERFLY), BETINO ERRERA (BETINO’S), JULIEN LEBRUN (HOT CASA). Une revue des musiques et rythmes Rare Groove Afro-Tropical par les esthètes du genre et diggers; parcourant la planète à la recherche des joyaux afro-beats, tropical sounds, funk afro et latin beats…
Un line up inédit avec le must des djs et diggers de la scène Afro-Tropicale made in Paris!
Source : - http://www.cabaretsauvage.com/
Ebo Taylor_2010_Cabaret Sauvage (Festival Alter Eco)
Modifié en dernier par bluesy le 20 juil. 2014 23:09, modifié 4 fois.
"Music Makes You Move" : Funkhouse Express (1974) so... "HIT THAT ONE!" : JB
"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
Ebo Taylor | Cabaret Sauvage | 1er juin 2012
Ebo Taylor
- http://www.myspace.com/ebotaylor
- http://www.amazon.fr/Ebo-Taylor/e/B004ADLDQS
Vendredi 09 Novembre 2012 à 20h00
Ivry sur Seine (94) - Le Hangar (Tremplin)
3/5 rue Raspail
[12,00€]
Samedi 10 Novembre 2012 à 20h30
La Rochelle (17) - La Sirene
111 boulevard Emile Delmas
[de 13,70€ à 15,70€]
Jeudi 29 Novembre 2012 à 20h30
Zurich (Suisse) - Rote Fabrik
395 Seestrasse
Un album présenté par Jean dans la section : ‹ Global Funk ‹ Afro
-->Twer Nyame (PHILIPS GHANA, 1977)
- http://www.myspace.com/ebotaylor
- http://www.amazon.fr/Ebo-Taylor/e/B004ADLDQS
Vendredi 09 Novembre 2012 à 20h00
Ivry sur Seine (94) - Le Hangar (Tremplin)
3/5 rue Raspail
[12,00€]
Samedi 10 Novembre 2012 à 20h30
La Rochelle (17) - La Sirene
111 boulevard Emile Delmas
[de 13,70€ à 15,70€]
Jeudi 29 Novembre 2012 à 20h30
Zurich (Suisse) - Rote Fabrik
395 Seestrasse
Un album présenté par Jean dans la section : ‹ Global Funk ‹ Afro
-->Twer Nyame (PHILIPS GHANA, 1977)
"Music Makes You Move" : Funkhouse Express (1974) so... "HIT THAT ONE!" : JB
"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
- funkiness
- Site Admin
Ebo Taylor | Le Hangar (94) | 30 novembre 2012
funkiness brings you funk and happiness
Ebo Taylor | Le Hangar (94) | 30 novembre 2012
Il y a une erreur dans le titre, le concert au Hangar c'est le 9 novembre pas le 30.
- funkiness
- Site Admin
Ebo Taylor | Le Hangar (94) | 30 novembre 2012
Bluesy !Daasiq a écrit :Il y a une erreur dans le titre, le concert au Hangar c'est le 9 novembre pas le 30.
funkiness brings you funk and happiness
Ebo Taylor | Le Hangar (94) | 9 novembre 2012
UP !!!!!!!!!!! C'est demain pour les parisiens.
Une autre date en Suisse.
Vendredi 30 Novembre 2012
Bale (Suisse) - Kaserne
1b Klybeckstrasse
Une autre date en Suisse.
Vendredi 30 Novembre 2012
Bale (Suisse) - Kaserne
1b Klybeckstrasse
"Music Makes You Move" : Funkhouse Express (1974) so... "HIT THAT ONE!" : JB
"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
Ebo Taylor | Le Hangar (94) | 9 novembre 2012
Bravo et merci Bluesy pour cette excellente info !! C'est pourtant dans ma rue, enfin presque et j'adore Ebo Taylor, hélas pour moi pas de concert ce soir
Retrouvez Moi Sur : https://www.mixcloud.com/getfunkyfresh/
Ebo Taylor | Le Hangar (94) | 9 novembre 2012
Punaise dans la même rue... mon rêve : habiter à deux pas d'une salle de concerts qui passerait des sons que j'aime, le paradis serait à portée de main.
Il y a des chances que je sois à La Rochelle demain pour voir Ebo Taylor et le lendemain j'espère refaire le même trajet pour Antibalas et j'espère que le son sera brut de décoffrage, secouage rythmique à fond la caisse, énergie pulsionnelle, tribale... Déjà il me faudrait avoir mes places.
(On s'encroûte vite surtout dans certaines villes).
Ci-dessous le programme que je découvre.
** Afrobeat-Week ** > Soirées présentées en partenariat avec l’Université de La Rochelle
La Sirène est très heureuse d’accueillir à nouveau le Festival des Escales Documentaires, non pas pour une soirée mais pour un week-end de clôture.
Dès 19H30, samedi 10 novembre, l’équipe du Festival vous invite à découvrir le palmarès 2012. A l’issue de l’annonce place à la fête, aux documentaires et aux concerts.
2 documentaires jumeaux seront présentés lors de ce week-end. La toile de fond est ici la même : le combat de boxe entre Mohammed Ali et George Foreman le 30 octobre 1974 dans le grand stade de Kinshasa au Zaïre. When we were kings de Leon Gast filme le match initié par Don King, un documentaire uppercut d’1H28. Soul Power est signé par Jeffrey Levy-Hinte le chef monteur du premier film. Quelques semaines avant le combat se tient au même endroit à Kinshasa, le Woodstock africain réunissant James Brown, BB King, Celia Cruz, Miriam Makeba. Un documentaire musical d’1H33.
En écho et résonance aux documentaires, nous vous proposons là aussi la rencontre entre l’Afrique et les Etats-Unis. A ma droite, Ebo Taylor, guitariste ghanéen, maître incontesté des genres Highlife et Afrobeat, un mythe dont la piste a croisé celle de Fela et Tony Allen. Entouré d’une petite dizaine de musiciens issus de l’Afrobeat Academy de Berlin, Ebo Taylor envoûte. A ma gauche, Antibalas, un combo de 11 musiciens né à Brooklyn, dont le nouvel opus vient de sortir chez Daptone Records (Sharon Jones, Budos Band, Charles Bradley…) et dont les concerts laissent le public en transe.
Je vais revoir Soul Power, rien que d'y penser, je sais que je vais me trainer comme la dernière fois à La Rochelle (qui l'avait déjà diffusé dans une petite salle, nous étions que peu de spectateurs...), je me damnerai pour voir sur grand écran tous les lives Funk/Soul mais je suis un petit peu intenable par moment.
Il y a des chances que je sois à La Rochelle demain pour voir Ebo Taylor et le lendemain j'espère refaire le même trajet pour Antibalas et j'espère que le son sera brut de décoffrage, secouage rythmique à fond la caisse, énergie pulsionnelle, tribale... Déjà il me faudrait avoir mes places.
(On s'encroûte vite surtout dans certaines villes).
Ci-dessous le programme que je découvre.
** Afrobeat-Week ** > Soirées présentées en partenariat avec l’Université de La Rochelle
La Sirène est très heureuse d’accueillir à nouveau le Festival des Escales Documentaires, non pas pour une soirée mais pour un week-end de clôture.
Dès 19H30, samedi 10 novembre, l’équipe du Festival vous invite à découvrir le palmarès 2012. A l’issue de l’annonce place à la fête, aux documentaires et aux concerts.
2 documentaires jumeaux seront présentés lors de ce week-end. La toile de fond est ici la même : le combat de boxe entre Mohammed Ali et George Foreman le 30 octobre 1974 dans le grand stade de Kinshasa au Zaïre. When we were kings de Leon Gast filme le match initié par Don King, un documentaire uppercut d’1H28. Soul Power est signé par Jeffrey Levy-Hinte le chef monteur du premier film. Quelques semaines avant le combat se tient au même endroit à Kinshasa, le Woodstock africain réunissant James Brown, BB King, Celia Cruz, Miriam Makeba. Un documentaire musical d’1H33.
En écho et résonance aux documentaires, nous vous proposons là aussi la rencontre entre l’Afrique et les Etats-Unis. A ma droite, Ebo Taylor, guitariste ghanéen, maître incontesté des genres Highlife et Afrobeat, un mythe dont la piste a croisé celle de Fela et Tony Allen. Entouré d’une petite dizaine de musiciens issus de l’Afrobeat Academy de Berlin, Ebo Taylor envoûte. A ma gauche, Antibalas, un combo de 11 musiciens né à Brooklyn, dont le nouvel opus vient de sortir chez Daptone Records (Sharon Jones, Budos Band, Charles Bradley…) et dont les concerts laissent le public en transe.
Je vais revoir Soul Power, rien que d'y penser, je sais que je vais me trainer comme la dernière fois à La Rochelle (qui l'avait déjà diffusé dans une petite salle, nous étions que peu de spectateurs...), je me damnerai pour voir sur grand écran tous les lives Funk/Soul mais je suis un petit peu intenable par moment.
"Music Makes You Move" : Funkhouse Express (1974) so... "HIT THAT ONE!" : JB
"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
Ebo Taylor | Le Hangar (94) | 9 novembre 2012
Bluesy, "When We Were Kings" lui est largement supérieur.bluesy a écrit : Je vais revoir Soul Power, :
It's what's in the grooves that count
Ebo Taylor | Le Hangar | 9 novembre 2012
Bon ben, c'était terrible, grandiose, festif, convivial... et groovy!!!!!!!!!
Tous les zicos étaient au top, des cuivres au poil, et un duo percu/batterie du tonnerre
Je pense qu'Ebo a été impressionné par l'ambiance et il s'est vraiment donné
Tout ça pour la modique somme de 12 euros, le Hangar est vraiment exceptionnel concernant sa sélection d'artiste et sa politique tarifaire
J'en ai profité pour prendre les 3 double Lp's en vente à 15 euros pièce, impossible de trouver moins cher!
Pour info Maceo Parker au Hanger le 23, mais c'est déjà complet
Tous les zicos étaient au top, des cuivres au poil, et un duo percu/batterie du tonnerre
Je pense qu'Ebo a été impressionné par l'ambiance et il s'est vraiment donné
Tout ça pour la modique somme de 12 euros, le Hangar est vraiment exceptionnel concernant sa sélection d'artiste et sa politique tarifaire
J'en ai profité pour prendre les 3 double Lp's en vente à 15 euros pièce, impossible de trouver moins cher!
Pour info Maceo Parker au Hanger le 23, mais c'est déjà complet
Ebo Taylor | Le Hangar | 9 novembre 2012
Comme d'hab je me suis perdue, j'ai donc mis 2H au lieu d'1H, eh oui quand on ne connait pas le lieu et que le GPS n'est toujours pas d'actualité.
Mais ma ténacité a fait le reste : n'empêche que le chemin que m'a indiqué Google Maps m'a fait me retrouver dans une zone industrielle sombre, lugubre avec des silos énormes, en pleine nuit, peu de lumière pour ne pas dire pas du tout à certains endroits, personne dans les parages, le silence, j'ai cru me retrouver dans un film à suspens. Mais je pestais plus qu'autre chose !!!!!!!
Au final, j'arrive, je me gare tant bien que mal, et je file. Le système d'accès au fauteuil très bien, mais le système des marches est à c---- ! : car quand on a un soucis de marche et que l'on a un appareillage, c'est la m---- : ces architectes parfois...
Sinon accueil sympa même de la sécurité.
Je file à l'étage, pas vu l'ascenseur, donc les escaliers, style métal, près de 2 étages : et j'ai cru qu'il n'y avait plus de places, les sièges étaient pris pour une bonne partie et c'est tant mieux !
Quelques minutes d'attente et c'est parti pour When We Were Kings : j'ai ri, souri, j'acquiesçais par moment comme lors d'un prêche d'un révérend pour certaines paroles, il m'arrivait de faire ...
Chose étonnante j'ai éprouvé un vrai attachement pour George Foreman qui a cette même attitude calme que j'aime aussi chez Bill Withers. Plein d'images dans la tête, l'ultra bavardage de Mohammed Ali, punaise plus fort que les gonzesses. Mais il fait de bonnes remarques dans le flot des mots qu'il distille. A chaque instant de musique je tressaillais de plaisir et remuais sur mon siège, dommage que cela soit si court. Mais le moment du match... je me suis retenue, car pour toute personne qui connait le public antillais, sait que ce dernier participe à fond, pour ne pas avoir l'air trop stupide, j'ai fait un effort surhumain pour ne pas mimer, dire ce fameux "isalé !", heu... je l'ai murmuré. Je vis le truc à fond, même si c'est déjà vu et revu.
Très bon documentaire, riche d'infos / l'époque, l'événement... frustration pour la partie live mais concernant les boxeurs très bien fait, plus axé il est vrai sur Ali qui fait le show (il devait être épuisant par moment mais bon c'est un showman).
Ensuite, direction, le rdc où les instruments sont déjà installés. J'aime cette scène très peu haute (50cm plus ou moins du sol) et à proximité du public : la distance n'est pas de mise avec la foule.
Ambiance générale agréable, aucun stress : des amuses gueules à volonté au bar, un coca à 3€ dans un verre et non du plastique, donc consigne à 1€.
Enfin arrive Ebo Taylor : on ressent sa bonne humeur dès la première note. Le public un peu timide sur les premiers titres mais Ebo Taylor a réussi leur faire oublier toute timidité et l'ambiance comme décrite par Funkitch à Paris a été festive, joyeuse. J'ai adoré les pas de danse d'Ebo Taylor et moi j'ai dansé du début à la fin, j'étais en nage, j'ai bougé mais alors tout : AFROBEAT POWER !!!!!!!!!! Pour ma plus grande joie, Ebo Taylor est passé dans le public et m'a serré la main, je ne m'y attendais pas, mais j'ai aussi été moins timide que d'habitude, j'avais quand même les mains trempées de sueur.
En deux mots, cela a été l'éclate, sans complexe, sans gêne, hyper à l'aise, rien à faire des regards... dans ma bulle musicale et le pied total.
Le son de la salle nickel, je n'ai pas eu de douleur, même pas eu besoin de me protéger les tympans.
Funkiness tu aurais aimé, c'est certain.
Comme Funkitch, j'ai pris les 3 albums format vinyles : il y a un mec qui hésitait entre les 3, je lui ai conseillé de prendre le premier réédité et à un autre qui hésitait à prendre les 3, je lui ai dit de foncer, les 3 sans hésitation, il lui manquait 5€, j'ai failli les lui donner, sans rire.
Une salle que je découvre et sincèrement, public sympa, bonne ambiance, la sonorité est top, et le reste est nickel, à part ce système d'escalier, certes, sympa à l’œil mais quand on monte marche après marche avec ce dénivelé + différence de largeur des marches c'est assez nul, vu que l'autre partie pour les fauteuils est ultra en pente et donc n'est pas pratique pour personne en difficulté de marche, c'est par moment limite à se casser la g-----. Et l'autre accès destiné au fauteuil est intégré dans les marches et cela fait effectuer une sorte de "S"... je n'ai toujours pas compris la finalité de cette structure (il faut que je fasse une photo pour la peine, c'est peut être un jeu de piste dont je n'ai pas compris le sens).
Merci à Funkitch pour son report, cela m'a donné envie de voir de mes yeux vus et sincèrement, je ne m'attendais pas à bouger autant.
Tiens je viens de faire comme Mohammed Ali : un bla bla incessant...
Mais ma ténacité a fait le reste : n'empêche que le chemin que m'a indiqué Google Maps m'a fait me retrouver dans une zone industrielle sombre, lugubre avec des silos énormes, en pleine nuit, peu de lumière pour ne pas dire pas du tout à certains endroits, personne dans les parages, le silence, j'ai cru me retrouver dans un film à suspens. Mais je pestais plus qu'autre chose !!!!!!!
Au final, j'arrive, je me gare tant bien que mal, et je file. Le système d'accès au fauteuil très bien, mais le système des marches est à c---- ! : car quand on a un soucis de marche et que l'on a un appareillage, c'est la m---- : ces architectes parfois...
Sinon accueil sympa même de la sécurité.
Je file à l'étage, pas vu l'ascenseur, donc les escaliers, style métal, près de 2 étages : et j'ai cru qu'il n'y avait plus de places, les sièges étaient pris pour une bonne partie et c'est tant mieux !
Quelques minutes d'attente et c'est parti pour When We Were Kings : j'ai ri, souri, j'acquiesçais par moment comme lors d'un prêche d'un révérend pour certaines paroles, il m'arrivait de faire ...
Chose étonnante j'ai éprouvé un vrai attachement pour George Foreman qui a cette même attitude calme que j'aime aussi chez Bill Withers. Plein d'images dans la tête, l'ultra bavardage de Mohammed Ali, punaise plus fort que les gonzesses. Mais il fait de bonnes remarques dans le flot des mots qu'il distille. A chaque instant de musique je tressaillais de plaisir et remuais sur mon siège, dommage que cela soit si court. Mais le moment du match... je me suis retenue, car pour toute personne qui connait le public antillais, sait que ce dernier participe à fond, pour ne pas avoir l'air trop stupide, j'ai fait un effort surhumain pour ne pas mimer, dire ce fameux "isalé !", heu... je l'ai murmuré. Je vis le truc à fond, même si c'est déjà vu et revu.
Très bon documentaire, riche d'infos / l'époque, l'événement... frustration pour la partie live mais concernant les boxeurs très bien fait, plus axé il est vrai sur Ali qui fait le show (il devait être épuisant par moment mais bon c'est un showman).
Ensuite, direction, le rdc où les instruments sont déjà installés. J'aime cette scène très peu haute (50cm plus ou moins du sol) et à proximité du public : la distance n'est pas de mise avec la foule.
Ambiance générale agréable, aucun stress : des amuses gueules à volonté au bar, un coca à 3€ dans un verre et non du plastique, donc consigne à 1€.
Enfin arrive Ebo Taylor : on ressent sa bonne humeur dès la première note. Le public un peu timide sur les premiers titres mais Ebo Taylor a réussi leur faire oublier toute timidité et l'ambiance comme décrite par Funkitch à Paris a été festive, joyeuse. J'ai adoré les pas de danse d'Ebo Taylor et moi j'ai dansé du début à la fin, j'étais en nage, j'ai bougé mais alors tout : AFROBEAT POWER !!!!!!!!!! Pour ma plus grande joie, Ebo Taylor est passé dans le public et m'a serré la main, je ne m'y attendais pas, mais j'ai aussi été moins timide que d'habitude, j'avais quand même les mains trempées de sueur.
En deux mots, cela a été l'éclate, sans complexe, sans gêne, hyper à l'aise, rien à faire des regards... dans ma bulle musicale et le pied total.
Le son de la salle nickel, je n'ai pas eu de douleur, même pas eu besoin de me protéger les tympans.
Funkiness tu aurais aimé, c'est certain.
Comme Funkitch, j'ai pris les 3 albums format vinyles : il y a un mec qui hésitait entre les 3, je lui ai conseillé de prendre le premier réédité et à un autre qui hésitait à prendre les 3, je lui ai dit de foncer, les 3 sans hésitation, il lui manquait 5€, j'ai failli les lui donner, sans rire.
Une salle que je découvre et sincèrement, public sympa, bonne ambiance, la sonorité est top, et le reste est nickel, à part ce système d'escalier, certes, sympa à l’œil mais quand on monte marche après marche avec ce dénivelé + différence de largeur des marches c'est assez nul, vu que l'autre partie pour les fauteuils est ultra en pente et donc n'est pas pratique pour personne en difficulté de marche, c'est par moment limite à se casser la g-----. Et l'autre accès destiné au fauteuil est intégré dans les marches et cela fait effectuer une sorte de "S"... je n'ai toujours pas compris la finalité de cette structure (il faut que je fasse une photo pour la peine, c'est peut être un jeu de piste dont je n'ai pas compris le sens).
Merci à Funkitch pour son report, cela m'a donné envie de voir de mes yeux vus et sincèrement, je ne m'attendais pas à bouger autant.
Tiens je viens de faire comme Mohammed Ali : un bla bla incessant...
"Music Makes You Move" : Funkhouse Express (1974) so... "HIT THAT ONE!" : JB
"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
Ebo Taylor | Le Hangar | 9 novembre 2012
bluesy, je suis content de t'avoir donner envie et que t'as soirée ai été agréable
impression identique, je m'attendais également pas à bouger autant! quel groove ce Ebo
impression identique, je m'attendais également pas à bouger autant! quel groove ce Ebo
Ebo Taylor | Le Hangar | 9 novembre 2012
Je n'ai même pas besoin de faire la photo des marches, je viens de voir sur le site de la salle : c'est beau, esthétique mais pas toujours pratique.
Une très belle salle, bonne acoustique, bon rendu sonore et ambiance détendue... Mais, certains s'autorisent à fumer c'était le cas hier, comme aujourd'hui (peut être le fait d'une personne uniquement).
Une très belle salle, bonne acoustique, bon rendu sonore et ambiance détendue... Mais, certains s'autorisent à fumer c'était le cas hier, comme aujourd'hui (peut être le fait d'une personne uniquement).
"Music Makes You Move" : Funkhouse Express (1974) so... "HIT THAT ONE!" : JB
"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
Ebo Taylor | Le Hangar | 9 novembre 2012
Le design en zigzag a une fonction bien particulière. Apparemment vu le dénivelé et donc la hauteur totale de l'escalier, il aurait été difficile pour quelqu'un de pousser un fauteuil de handicapé en ligne droite vers l'entrée, et je ne parle pas de la descente où la déclivité aurait pu emporter le valide qui retient le fauteuil...
En faisant un trajet en zigzag qui ne pénalise pas un valide qui veut simplement gravir les degrés, on évite une trop grande pente, comme dans les lacets routiers en montagne...
Je pense même que ce n'est pas une 'lubie' de l'architecte mais peut-être même tout simplement la norme en matière de déclivité maximale dans les cahiers des charges des constructions modernes publiques qui doivent impérativement prévoir un accès aux handicapés. En général la solution retenue est celle d'un petit ascenseur spécial fauteuils sur le côté. L'emplacement ne le permettait peut-être pas...
En faisant un trajet en zigzag qui ne pénalise pas un valide qui veut simplement gravir les degrés, on évite une trop grande pente, comme dans les lacets routiers en montagne...
Je pense même que ce n'est pas une 'lubie' de l'architecte mais peut-être même tout simplement la norme en matière de déclivité maximale dans les cahiers des charges des constructions modernes publiques qui doivent impérativement prévoir un accès aux handicapés. En général la solution retenue est celle d'un petit ascenseur spécial fauteuils sur le côté. L'emplacement ne le permettait peut-être pas...
Sworn to fun
Loyal to none
Loyal to none
Ebo Taylor | Le Hangar | 9 novembre 2012
Tu as tout à fait raison, le dénivelé est important et la pente est raide. Depuis cette photo, il y a une rampe de chaque côté des pentes, ce qui permet de s'agripper surtout vers le milieu de la montée où l'effort débute.
L'ascenseur se trouve juste avant la porte d'entrée du bâtiment, il faut donc franchir ce dénivelé, qui il est vrai se gravit facilement par les escaliers qui me posent un peu soucis de part la différence de largeur, de hauteur des marches. Mais on finit par mémoriser, c'est comme si on s'en faisait une photographie mais si jamais il y avait foule, je laisserai tout le monde descendre, j'aurai trop peur que l'on me bouscule, je n'ai aucun équilibre.
Bien vu WonderB pour la forme en labyrinthe, c'est vrai que la progression est très en douceur, on ne voit pas du tout le dénivelé (en comparaison des pentes).
Une très belle salle, j'y retournerai, c'est certain : en plus il y a un disquaire à ce que j'ai pu lire qui vend des vinyles, mais pas Funk (pas grave, il faut conserver une certaine curiosité) et il est possible de s'installer et d'y lire, prendre un café, etc. Et puis la mer est à deux pas.
J'aime cette photo : des huitres pour Ebo Taylor (j'aurai été malheureuse si on m'avait donné ça à manger).
Source : http://www.facebook.com/pages/La-Sirene ... tos_stream
L'ascenseur se trouve juste avant la porte d'entrée du bâtiment, il faut donc franchir ce dénivelé, qui il est vrai se gravit facilement par les escaliers qui me posent un peu soucis de part la différence de largeur, de hauteur des marches. Mais on finit par mémoriser, c'est comme si on s'en faisait une photographie mais si jamais il y avait foule, je laisserai tout le monde descendre, j'aurai trop peur que l'on me bouscule, je n'ai aucun équilibre.
Bien vu WonderB pour la forme en labyrinthe, c'est vrai que la progression est très en douceur, on ne voit pas du tout le dénivelé (en comparaison des pentes).
Une très belle salle, j'y retournerai, c'est certain : en plus il y a un disquaire à ce que j'ai pu lire qui vend des vinyles, mais pas Funk (pas grave, il faut conserver une certaine curiosité) et il est possible de s'installer et d'y lire, prendre un café, etc. Et puis la mer est à deux pas.
J'aime cette photo : des huitres pour Ebo Taylor (j'aurai été malheureuse si on m'avait donné ça à manger).
Source : http://www.facebook.com/pages/La-Sirene ... tos_stream
"Music Makes You Move" : Funkhouse Express (1974) so... "HIT THAT ONE!" : JB
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"They Call Us Wild But We Got Soul" : Wild Magnolias (1975)
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