THEY ARE BACK !! cette fois ci je ne dois pas les rater !!
LISA & THE LIPS
Concert - ROCK
DIVAN DU MONDE
75. rue des Martyrs -
75018 PARIS
Métro : Anvers
Lundi 20 Octobre 2014/19H30
LISA & THE LIPS
Une impressionnante touffe de cheveux, un regard chaleureux et rieur et cette voix qui, depuis plus de 15 ans, fait frémir le rock, c'est Lisa Kekaula, grande prêtresse des BellRays. Avec leur album Have a Little Faith, on avait touché à ce que le combo de Los Angeles pouvait faire de plus passionnant : pousser des cuivres au côté de la fameuse guitare de Bob Vennum, l'autre héros des BellRays. Mais, sur scène, de section cuire, il n'en fut jamais question. Dira-t-on que nous avions perdu espoir ?
Comme souvent, la solution vint d'Espagne, cet étrange pays qui n'achète plus de musique mais qui aime la musique, passionnément. Qui aime le rock, qui aime la fête, qui aime les mélodies charnelles, les débordements d'amour, les nuits interminables, l'électricité et un certain je-m'en-foutisme. C'est à Madrid que s'est nouée l'histoire, en décembre 2012, dans un studio ou le vintage le dispute à l'authentique : Hammond, Wurlitzer, piano, vieux amplis à lampes, pédales… 10 titres écrits par Lisa, Bob, Pablo "Funky" Perez et Henrik Widen (suédois, membre des Diamond Dogs), rapatriés de l'autre côté de l'Atlantique pour y être mixés et masterisés.
Le résultat est à la hauteur des attentes : chaud, coloré, relevé, dansant, excitant, chaloupé, groggy, funky, joyeux. "Mary Xmas" débute comme un bon vieux BellRays ; "You Might Say" nous ballade au bon vieux temps des rues de San Francisco ; "Troubled Mind" réchauffe le whisky jusqu'à l'hypnotique "Stop The DJ", brûlot tellurique diablement excitant ! Mais tout est excitant dans ce disque… Alors sur scène ! Pensez qu'ils sont huit ! La grosse artillerie, le grand jeu !
BROR GUNNAR JANSSON
" Une silhouette de dandy, une mèche rebelle, un visage poupon et une bouche qui se déforme sous la torture du blues qui l’habite. Bretelles et pantalon trop court, Bror Gunnar Jansson ôte toujours ses chaussures en arrivant sur scène, avant de s’installer devant un attirail taillé sur mesure. Rien de clinquant. Une guitare électrique «pas chère» sur laquelle figure une inscription au Dymo collée en haut du manche : «Death where they sting» («La mort où elles piquent»). Une ficelle est attachée au manche pour pouvoir l’accrocher à son mur. «Pas de Gibson ou de Fender, je n’aime pas ces sons-là.» Pour lui, les groupes de référence seraient plutôt «National et Harmony». " Libération
" Sous ce nom de meuble Ikea se cache un Suédois, donc, adepte d’un blues gothique en bois brut, tout fait à la main et à la hache, à monter soi-même et magnifiquement bancal ( ... ) Son prochain album, qui sortira en mars, est une monstrueuse merveille ( ... )" Les Inrocks