Beaucoup d'interviews -on y voit même Bettye Crutcher!-, des documents rares, j'ai passé un très agréable moment. Enjoy !

https://www.arte.tv/fr/videos/081576-00 ... egendaire/
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Je viens de voir ton post. Merci pour l'info Phil.Phil a écrit : ↑30 juil. 2019 10:35 L'autre jour Arte a diffusé un excellent documentaire sur le label Stax, depuis sa genèse jusqu'au déclin;
Beaucoup d'interviews -on y voit même Bettye Crutcher!-, des documents rares, j'ai passé un très agréable moment. Enjoy !![]()
https://www.arte.tv/fr/videos/081576-00 ... egendaire/
Source : ARTEARTE a écrit :
Isaac Hayes, Wilson Pickett, Sam & Dave et Otis Redding en furent les plus éminents talents : voici la fabuleuse histoire du label Stax, qui inventa la soul et fit travailler dans un même studio Blancs et Noirs dans l'Amérique ségrégationniste.
À Memphis, en 1957, Jim Stewart, un fan de Country, convainc sa sœur, Estelle Axton, de racheter un cinéma désaffecté, en plein ghetto noir, et d'en faire un studio. Ils réunissent les premières lettres de leurs noms, ce qui donne "Stax". Estelle crée un magasin de disques attenant au studio, qui attire les talents du quartier, tandis que Jim délaisse la Country pour le Rhythm and Blues.
Le label enregistre ses premiers tubes, tel "Green Onions" de Booker T. & The M.G.’s, premier groupe multiracial. Stax enchaîne rapidement les succès, concoctés par des compositeurs de génie comme Isaac Hayes, qui œuvrera dix ans dans l'ombre avant de devenir le dandy soul qu'on connaît. En 1965, l'arrivée d'Al Bell, un DJ à l'épais carnet d'adresses, booste le label, désormais dirigé par un Blanc, Jim, et un Noir, Al, qui, faisant fi de la ségrégation, travaillent en harmonie.
Le phénix Stax
Les fastueuses années 1960 verront émerger les talents d'Otis Redding et du duo Sam & Dave. Mais malgré la loi sur les droits civiques de 1964, la décennie se terminera mal, avec une exacerbation des tensions raciales. Venu soutenir les éboueurs de Memphis, Martin Luther King est assassiné dans un motel de la ville en 1968. Ce traumatisme brise l'utopie métissée de Stax : les employés noirs regardent désormais leurs collègues blancs de travers. Le label renaîtra de ses cendres grâce à l'explosion de la Soul au début des années 1970, avant de déposer le bilan en 1975.
Ponctué d'images de fresques urbaines de Memphis, le film raconte cette tumultueuse épopée grâce à des archives inédites et à des témoignages passionnants, notamment ceux de Steve Cropper, coauteur du tube "(Sittin' on) The Dock of the Bay", d’Al Bell, du chanteur Sam Moore, ou de Rob Bowman, le "biographe" de Stax.
Ha oui le jeune chanteur à la fin était complètement "habité" par la musique et on le croyait "possédé" par l'esprit d'Otis Redding comme je l'ai déjà vu dans certaines performances livebluesy a écrit : ↑26 juin 2020 22:41 Le jeune chanteur que l'on voit à la fin quand il lâche les chevaux et bouge comme un possédé en plein prêche Soul...![]()
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J'en ai eu des frissons, surtout quand il marquait le tempo avec ces tressaillements physiques et ponctuations corporelles marquées, en live s'il poursuivait dans la Musique cela donnerait un truc d'enfer.
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Je l'ai préféré dans les moments d'extase et sans chercher à imiter le grand Otis Redding, ce n'était que par moment.
Tu fais certainement référence à la B.O. de Exorcist II: The Heretic, voir le sujet :
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